Projet d'une loi : portant défense d'apprendere à lire aux femmes

a CONSIDÉRANT :

32° Que la cause supprimée, l'effet tombe de lui-même : ainsi, les femmes ne sachant plus lire, ne nous offriront plus le risible travers de ces diplomates femelles qui, du fond d’un boudoir, le Publiciste à la main, disposent des empires, font la part aux rois, aux républiques... ;

elc. CONSIDÉRANT :

33° Que la qualité de femme qui sait lire n'ajoute rien aux titres sublimes et touchants de bonne fille, bonne épouse eL bonne mère, ni aux

moyens d'en remplir les devoirs doux et sacrés. CONSIDÉRANT : 3% Que la place d'une femme n’est point sur

les bancs d’une école, encore moins dans une

chaire de théologie, de physique ou de droit,