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КОМИСИОНИ ПРАВКИ ПОСАО STAR DEL CREDERE

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У комисионој продаји (извозу) проблем немогућности извршења од стране комисионара del credere не поставља ce y овом облику. Без обзира на врсту робе коју треба да пласира на иностраном тржишту, комисионар у случају неизвршења чинидбе од стране трећег лица увек мора да исплати одређену цену. Комитенту je у случају продајног комисиона чак и свеједно ко му испуњава обавезу комисионар или треће лице jep je чинидба иста плаћање цене. Овде, дакле, комисионар лакше извршава обавезу уместо свог сауговорача из купопродаје него у случају куповног комисиона а комитент у сваком случају постиже жељени резултат.

Др.

Миодраг Трајковић

RÉSUMÉ L’acte juridique de commission „star del credere” Dans la première partie de l’article l’auteur explique la notion „star del credere” en faisant ressortir le fait que le commissionnaire garantit au commettant, pour une rétribution plus élevée, l’exécution de l’obligation de la part de la tierce personne. Pour éviter le risque qui, dans la commission ordinaire, ne couvre pas 4’activité du commissionnaire, le commettant ajoute au contrat principal la clause „star del credere” et de cette façon il oblige le commissionnaire, d’assumer la responsabilité pour le succès de l’affaire. Dans la discussion sur l’origine de la commission „star del credere” on n’admet pas qu’il y a un lien qui la rattache à l’institution romaine fidejussie indemnitatis et on en conclut que ce contrat a pris naissance dans le trafic bancaire des villes commerciales de l’ltalie médiévale. Les réflexions sur la nature juridique et les effets de la commission occupent une place centrale dans cet article. La polémique poursuivie entre les juristes sur la nature juridique de cette commission se réduit à son assimilation à la caution ou au contrat d’assurance. Cependant l’auteur soutient la théorie peu admise sur la „star del credere” en tant que clause accessoire qui ne change pas le caractère de la commission et qui ne peut d’aucune manière influencer ce contrat pour qu’il commence à se transformer en une autre affaire. Au sujet des effets de la commission „star del credere” la question de la rétribution de la commission est traitée, ainsi que la possibilité du commettant de porter plainte contre le commissionnaire pour cause d’inexécution de l’obligation par suite du retard de la tierce personne l’acheteur ou le vendeur. En terminant son article l’auteur a exposé un aperçu de la législation comparée et de la pratique et il a examiné la possibilité de l’utilisation des règles de droit correspondantes des anciennes lois de commerce dans notre nouveau trafic intérieur et extérieur.