Anali Pravnog fakulteta u Beogradu

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УРЕБЕЊЕ ДРУШТВЕНИХ ОДНОСА КОЈИ CE ТИЧУ НАСЛЕБИВАЊА

sur un certain nombre de prémisses fondamentales de notre société dans cette phase de l’édification des nouveaux rapports sociaux, tandis que les dispositions estimées individuellement ou globalement ont fait ressortir presque une entière convergence avec les tendances de la vie. Parmi les dispositions pour lesquelles on ne pourrait pas dire la même chose se trouvent aussi les suivantes: la condition de droit de succession des enfants nés hors mariage, le cercle des successeurs légaux, la réduction de la part du conjoint, la condition de droit de succession des parents civils, la renonciation à la succession, la renonciation à une succession qui n’est pas encore ouverte. L’inégalité entre les enfants basée sur l’origine familiale se manifeste avec la plus de relief et de la manière la plus prononcée dans le droit successoral. Les enfants sont punis pour un »péché« de la nature quoiqu’ils sont des êtres entièrement innocents, par ailleurs la société exige de leur part les mêmes obligations et les mêmes résultats que des enfants légitimes. L'inégalité des enfants nés hors mariage par rapport aux enfants légitimes doit être complètement éliminée. Le cercle des parents en tant que successeurs légaux est aussi large qu’on a l'impression qu’il tire son origine du début de ce siècle et il faut le réduire. De même, les propositions de l’article 12 du texte existant aboutissent parfois dans leur application à des résultats désavantageux, ce qu’il faudrait éviter par une nouvelle formulation. La création des conditions qui assureraient la réalisation plus complète du but de l’adoption engagent à modifier les solutions qui se rapportent à l’adoption. La question du nombre et des formes dans lesquelles peuvent être exécutées les instructions de la dernière volonté attire l’attention de même. Enfin, il conviendrait d’abroger la disposition selon laquelle le descendant peut renoncer d’accord avec l’ascendant à la succession qui lui reviendrait après la mort de l’ascendant. Ce ne sont, certes, que quelques questions qui exigent des solutions plus adéquates.