Bemerkungen über die französische Revolution und das Betragen einiger Gesellschaften in London bei disen Ereignissen

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So wenig auch dieſes Werk des neuen Lichts ganz zu dem Ziele fam, das es wahrſcheinlicher Weiſe AA erz

-verbannte ſ< hierauf ſelb, um all den Schre>niſz fen des frommen Triumphes , all den Verhältniſſen auszuweichen die von den Háäuptern der Nazion wenn auch nicht hervorgebracht doh! wenigſtens be= núzt wurden,

Kuszug aus dem zweyten Sthreiben des Herrn de, Lally Toliendal an einen Freund :.

»» Parlons du parti que j’ai pris; il eſt bien juſtifié dans ma conſcience: — Ni cette ville coupable , ni cette aſſemblée plus coupable encore, ne meritoient que je me juſtifie ; mais j’ai á cœur que vous, & les perſonnes qui penſent comme vous, ne me con damnent pas. — Ma ſanté , je vous júre, me rendoit mes fon&ions. impoſibles ; mais même en les mettant de coté il a eté au-defſus de mes forées de ſupporter plus long-tems Fhorreur que me cauſoit ce. fang», — ces têtes, — cette ‘reine presque egorgée., — ce roi, — amené eſclav e, entrant à Paris, au milien de ſes malheyreux gardes. — Çes ‘perfides janniſſaires , ces aſſaſſins , ces femmes cannibales , ce cri de, TOUS LES EVEQUES A LA LANTERNE , dans Ie moment , ou le roi entre ſa capitale avec deux eveques de ſon ‘conſeil dans ſa voiture. Un coup. de fuſil, que j’ai va rer dans un des carofſes de la reine. M. Bailly appellant cela un bea u jour. L'aſſemblée 2yant declaré froidement le matin, qu’il n’étoit pas de ſa dignité d’aller toute entiere environner ſe rol.

À M,