Bemerkungen über die französische Revolution und das Betragen einiger Gesellschaften in London bei disen Ereignissen

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erreichen ſollte, ſo iſt doh meines Erachtens genug ge= ſchehen. Der unbedeutendſte Menſch ſo gequält múßte Ï Mit=

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M. Mirabeau’ diſant impunement dans cette aſſemblée, que le vaiſſeau de l’état, loins d'etre arrêté dans fa courſe , s'élanceroit avec plus de rapidité que jamais vers ſa régénération. M. Barnave, riant avec lui , quand des flots de ſang couloient autour de nous. Le vertueux Mounier echappant par miracle á vingt aſſaflins, qui avoient voulu faire de ſa tete un trophée de plus,

» Voila ce qui me fit jurer de ne plus mettre le pied dans cette caverne d’ Andropophages (die Nazionalverſammlung) ou je n'’avois plus de force d’élever la voix, ou depuis ſix ſemaines je l’avois elevée en vain. Moi, Mounier, et tous les honnétes gens, ont le dernier effort á faire pour le bien étoit d’en ſortir. Aucune idée de crainte ne s'eſt approchée de moi Je rougirois de m'en defendre. FJ avois encore reçû ſur la route de 12 part de ce peuple, moins coupable gue ceux qui Vont enivré de fureur, des acclamations , ef des ap= plaudiſſemens , dont d’autres auroient eté flattés, et qui m'ont fait fremir. C’eſt á l'indignation, c’eſt á l'horreur , c’eſt aux convulſions phyſiques, que le ſeul aſpe& du ſang me fait eprouver que j'ai cedé. On braye une ſeule mort; on la braye pluſieurs fois , quand elle peut être utile. Mais aucune puiſſance ſous le Ciel, -mais aucune opinion publique ou privée n'ont le ei de me condamner á ſouffrix inutilement mille ſupplices par minute, et Á perir de déſeſpoir, de rage, au milieu des triomphes du crime que je n'ai pu arrêter. Ils me proſcriront, ls confisqueront mes biens. Je labourerai la terre ;

et