Dictionnaire des athées anciens et modernes
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Ménée, rédacteur du Journal des Hommes Libres.
Ménanpre, poële comique grec ; donË ilne nous reste que des fragmens- En voici un que S{obée nous à conservé. « Epi» charme a dit, iLeëf vrai, que les Dieux » sont les vents , l’eau , Ja terre 2 le soleil , » le feu , les astres : mais Moïse n'imagiy» mait que des Dieux utiles ; c'était pour » nous l'argent et l'or. Quand tu les au» ras placés dans ta maison, demande ce » que tu veux; {out t'arrivera , le champ, » les maisons, les esclaves , les vases d’ar» gent, les amis, les juges , les témoins. » Donne seulement , et tu auras les Dieux . » même pour serviteurs. » Ménandre n'épas un croyant, puisque, le SpÉROSISTLE d'Epicharme ne lui suffisait pas.
_ Maensenne (minime), écrivait à Descartes : On ne sait pas si l’idée d’un être très-parfait n’est point la même que celle d’un être corporel. ( Lettres, t. IT, p. 281.)
Mérnovone , philosophe pyrrhoxien, né à Chio. « Nous ñe savons rien ) disait-il ; » et nous ne Savons pas même si nous ne » savons rien ».
MonTAïGNE , dans son grand chapitre sur Raimond de Sebonde , ridiculise les