L'unité de la politique italienne : (avec une carte)

DE DEMAIN Le

victoire la reddition de l’autre adversaire et Le plein triomphe de nos alliés!. » Nous ne discuterons ni avec le citoyen Carlo Bazzi, ni avec le poète Gabriel d’Annunzio la part respective de chacun des alliés dans la victoire. Nous ne demanderons pas si l’article Il du traité de Londres n’obligeait pas l'Italie à mener la guerre, avec tous les moyens dont elle dispose, non pas contre la seule Autriche, mais contre tous les États en guerre avec l'Entente. Nousne chercheron$ pas à savoir si les victoires, autant yougoslaves que serbes et grecques, en Macédoine; si la résistance d’abord, la révolution ensuite des Tehécoslovaques et des Yougoslayes, à l’intérieur même de l’Autriche-Hongrie, n’ont pas aussi contribué au triomphe de l'Italie; si... mais à quoi bon? Il est tant de questions que nous pourrions poser. Nous admettons que la « Nouvelle Rome » nous à rendu d'immenses services el que même elle a sauvé la France. On nous permettra cependant de dire, comme le faisait le 29 février 1919 un « collaborateur français »

() Gabriel n'Anvuwzo, Aveu de l’Ingrat, message publié par Excelsior le samedi 29 mars 4919: à î