"La Guzla" de Prosper Mérimee : les origines du livre - ses sources sa fortune : étude d'histoire romantique : thèse pour le doctorat d'Université
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BIBLIOGRAPHIE.
Angleterre : Anonyme. Quatre pièces insérées dans l’article sur la Guzla, dans la Monthly Review, novembre 1827. Ces pièces sont : Beath Song, The Brave Heyducs, Hadagny (première partie) et Barcarolle. Keightley (Thomas). Deux ballades insérées dans l’article sur la Guzla, dans la Foreign Quarterly Review,, juin 1828. Ces deux pièces sont : The Hawthorn of Yelico et The Brave Heyduks. Le même. The Fairy Mythology. Londres, 1828. 2 vol. in-12 Aux pages 323-324: Lord Mercury [de Mérimée]. Anonyme. Deux ballades traduites dans l’article intitulé Servian Ballads, dans le Chambers' s Journal, Édimbourg. septembre 1855, pp. 190-192. The Fatal. Shot (Hadagny) et The Bounden Brothers {les Pobratimi), traduites en vers, d'après la traduction allemande de Gerhard. 3° Russie : Pouchkine (Alexandre Serguiévitch). Onze ballades traduites dans la Bibliotéka cilla Tchténiga, Saint-Pétersbourg 1835, t. VIII et t. IX. Au tome VIII, première partie, p. 158 : le Cheval de Thomas II (le Chant serbe). Au tome IX, première partie, pp. 5-26 : dix autres pièces de la Guzla. Elles sont réimprimées au t. IV des Poésies de Pouchkine (Stikhotvoréniya, pp. 115-177), avec une préface inédite. Il existe une quantité de réimpressions postérieures. 4° Pologne : Chodzko (Alexandre). Poésies (en polonais), Saint-Pétersbourg, 1829. Nous ne connaissons cet ouvrage que de nom. Suivant M. Leger, on y trouve trois pièces de la Guzla, traduites en vers. Mickiewicz (Adam). Pisme, na nowo przejrzane, Paryz. w drukarni Bourgogne et Martinet, przy ulicy Jacob, 30.1844. Aux pages 127-129 du tome IV : Morlach w Wenecyi (le Morlaque à Venise), traduit en vers. Cette traduction polonaise de la ballade de Mérimée est retraduite en français dans l’édition française des Poésies complètes de Mickiewicz (Paris, 1844, 1857, etc.).