La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

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livre à Paris’, sans en revoir les épreuves, comme il fera encore de son édition de 1819 *. Mais il l’a communiqué à l’avance et au courant de l’impression à « quelques amis *», dont un pour le moins w’y à pas perdu son temps. Deux notes, faciles à reconnaître de cette main-là, complètent en effet de façon bien singulière les assertions du récit en le contredisant directement sans que le texte courant, qu’elles suivent, en soit modifié. Je parlerai ailleurs de celle qui concerne lélection de généralissime vendéen. Celle qui raconte les débuts dé la guerre se doit rappeler ici en bonne place. De la page 67 à la page 73, le texte comprend en tout quiuze lignes. Sous les quinze lignes de ces six pages court une note de cent quatrevingt-huit lignes en petits caractères compacts , consacrée tout entière à la gloire de Cathelineau !

lu J'ai déjà publié à Paris en (802 un précis historique. » P. 1x de l’édit. de 1819.

? « Le ms. de cette histoire ayant été envoyé à Paris par « l’auteur qui réside dans le Déparlement des Deux-Sèvres, « il est arrivé que l’imprimeur et la personne chargée de « lire les épreuves n’ont pu saisir la véritable orthographe. » Avertissement du libraire.

3P. 169 : « Quelques amis auxquels j'avais communiqué « cet ouvrage avant l'impression... »