La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

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insurrection Angevine. — « C’est par trop fort ! et « vous y aurez de la peine ! » s’écriait, incrédule avant de m’entendre, un de nos maîtres dans l’art d'interpréter les mythes antiques: — et l’autre jour, dans mon bureau même, un autre Parisien et de ceux qui font campagne et vive campagne contre l’ennemi, allait, s’engageant au courant de sa causerie, — tout étonné d’un cri d'arrêt. — sur la voie banale, dans la forêt sombre. Cest qu'en vérité on n’imagine ‘pas, après réflexion patiente, dans quelle nuit la supercherie a tramé son œuvre pratique. La façon en est d'avance invraisemblable, la propagation inouïe, Paveugle foi des contemporains aujourd’hui abritée contre tout affront par cent années d’exploitation, la révolte du bon sens inexplicable à cette heure et qui défie tout courage. J’aurai ce courage; — et je reprends l’assaut, avec la joie déjà de me sentir appuyé de jeunes et vaillantes recrues. Certes je n’y apporte aucun trouble de préjugé et je n’affirme aujourd’hui — uon plus qu’hier, — rienquejene sache bien, livrant toute hésitation aux fins sourires, mais ici encore

bien convaincu de ne pas tromper qui voudra