La terreur à Paris

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Georges DARIEN

BIRIBI

DIS CEPLINE NID IEEE Divième mille, 8 fr. 50

Ces trois cents pages sont pour ainsi dire le martyrologe

d'un homme. (Patrie, mars 1890.) Ce livre rappelle les souvenirs de la maison des morts, de Dostoïewsky. (Soir, 11 mars 1890.)

Etude ? Non. Quelque chose de plus partial et de plus personnel qu'une étude, de plus vivant et de plus humain. Ce livre n'est qu'un cri « un de ces cris rageurs, un de ces cris affreux qui crèvent le silence des bagnes ». (Paris, 23 mars1890.)

Biribi est un livre superbe, angoissant, terrifiant. une barbare et vibrante épopée qui nous révèle des sortes de supplices plus nombreux et plus effroyables que ceux qu'inventa le Dante. (Mercure de France, avril 1890.)

La lecture de Bibi vous fait froid sous la peau, vous glace d'horreur et l'on se sépare du livre avec l'impression de sortir d’un rêve effrayant, d’un cauchemar épouvantable.

(France moderne, 1% mai 1890.)

Biribi est un pamphlet exacerbé, avec des emphases et des déclamations à la Vallès. Ce que le vigoureux écrivain des Réfractaires a fait pour la chiourme de l'Université, M. Georges Darien l'a tenté pour les bohèmes de l'armée. Voilà un livre dans le goût du jour et qui aura certainement du succès... IL n'en faut pas plus pour tirer à vingt mille !

(Echo de Paris, 8 avril 1890.)

La plaie est étalée toute vive. M. de Freycinet, assisté par

M. Millerand, a promis de la guérir. (Eclair, 26 mars 1890.)

Cest après avoir lu le remarquable roman de M. Georges Darien, intitulé Biribi, que nous nous rendimes auprès du ministre de la guerre, pour attirer son attention sur les abus scandaleux qui y élaient dénoncés.

Les critiques les plus vives et, on a le droit de le dire, les plus justifiées, avaient été dirigées contre le traitement qui allait en certains cas jusqu'à la cruauté, infligé aux disciplipaires punis. Le décret qui vient de paraître constitue un progrès réel sur la situation actuelle.

(A. MicreraxD, XIXe Siècle, 11 juillet 1890.)