Le culte des Théophilantropes ou adorateurs de Dieu et amis des hommes, contenant leur manuel, leur catéchisme, et un recueil de discours, lecteurs, hymnes, et cantiques pour toutes leurs fêtes religieuses et morales. 1-3

C27) les douleurs et la pauvreté, ni les richesses et les honneurs. Mais le sage, quelle que soit sa fortune, se repose dans sa seule vertu.

Aimer la vertu, c’est avoir pourelle ue passion ardente, enflammée, exclusive, incapable de lui tien préférer. Haïr le vice, c’est craindre d’en être un seul instant souillé.

Celui qui suit la vertu le matin, peut mourir le soir : il ne se repentira pas d’avoir vécu, il se consolera de mourir.

La vertu occupe tout l'esprit du sage; et l’intérét, tout celui du méchant.

Celui qui néglige les connaissances les plus nécessaires, ressemble à un homme qui resteraitle visage appuyé contre un mur, ne pouvant avancer d’un seul pas, ni rien voir autour de lui.

. Il faut avoir pour ses anciens amis les mêmes égards que dans lamitié commençante.

Réfléchissez d’abord sur ce que vous voulez entreprendre, pesez mürement leschoses, examinez-les plus d’une fois. Après ne tardez pas davantage. Pourquoi perdre le tems à délibérer, quand il faut agir ? vous allez, par trop de prudence, pécher contre la prudence même.

Haïssez le crime dans les méchans. Mais s'ils reviennent à la vertu, recevez-les dans votre sein, comme s'ils n’avoient jamais fait de fautes.

Rougissez de ces paroles étudiées, par lesquelles on charme les oreilles; de ce sourire gracieux et

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