Le culte des Théophilantropes ou adorateurs de Dieu et amis des hommes, contenant leur manuel, leur catéchisme, et un recueil de discours, lecteurs, hymnes, et cantiques pour toutes leurs fêtes religieuses et morales. 1-3

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s’applaudit à lui-même; mais il ne connaît point [à paix de l'ame, parce qu’il ne connait pas la vertu,

Il est d’une grande ame de repousser les injures par les bienfaits,

L'homme d'une grande ame et solidement ver tueux ne demande point à vivre au détriment de sa vertu: il prodigue même sa vie, pour meître à sa vertu le dernier sceau.

Le sage aime la sociétés mais il ne se laisse pas emporter dans le tourbillon.

Il est constait, et non pas opiniâtre.

Un homme entêté est près du prècipice, et on ne Vavertit pas, parce qu'on sait qu’il reçoit impatiemment les avis. Il tombe, et où ne le retient pas, parce qu'on sait que lui-même a voulu sa chüte,

On trouve de grandes ressources dans l'ami droit et sincère, dans l'ami fidèle, et dans celui qui écoute volontiers. Rien n’est plus dangereux que l’ami qui trompe par un extérieur composé, l'ami lâche et fatteur, et l’ami babiltard.

F1 est pernicieux de mettfe sa joie dans l’orgueit de la vanité, dans la vie oisive et licencieuse, dans les festins et les voluptés.

Le malheur d'un état n’est pas qw’il soit pauvre, ni qu'il y ait peu de citoyens, mais que la justice ne soit pas exactement rendue à tous, et que la paix et la concorde n’y règnent pas. Qwon supprime les dépenses inutiles, le luxe immodéré; qu'on rende