Le culte des Théophilantropes ou adorateurs de Dieu et amis des hommes, contenant leur manuel, leur catéchisme, et un recueil de discours, lecteurs, hymnes, et cantiques pour toutes leurs fêtes religieuses et morales. 1-3

(70) Ceiui devant qui le superbe, Enflé d’une vaine splendeur, Paraît plus bas dans sa grandeur Que l’insecte caché sous Fherbe, Qui bravant du méchant le faste couronné Honore la vertu du juste infortuné,

Celui, dis-je, dont les promesses

Sont un gage toujours certain 3

Celui qui d’un infâme gain

Ne sait point grossir ses richesses ; Celui qui sur les dons du coupable puissant N’z jamais décidé du sort de l’innocent.