Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

(64 ) Mais pour les obtenir, ces brillantes conquêtes : Qu'iba fallu verser et de sang et de pleurs! Sous le fer de la loi qu'il est tombé de têtes! Et que de fronts encor voilés par les douleurs !

Quel horrible carnage a A notre ones ! Quel deuil de tous A et que de noirs tombeaux ! Vois la Seine et le Var, et le Rhône et la Loire, Des cadavres fottans traîner les vils lambeaux.

Seule, tu jouiras des nombreux avantages Qu hoorde un dieu propice aux peuples affranchis, La pee ‘du bonhéur croit pour les derniers âges; Et c'est à nos dépens qu als < seront enrichis.

" 4 FIN.

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