Livre d'or des officiers français de 1789 à 1815 : d'après leurs mémoires et souvenirs

Sr

ne considérât comme une compensation le grade de général de brigade qu'un homme, de la haute distinction de Foy, était fait pour devoir à de plus nobles voies.

(Général TarésauLT, Mémoires, t. IV, p.161.)

* Le Général FRANCESCHI

V. le général Bigarré. D o

Le Général FRESSINET

Finkenstein, 11 avril 1807. A Monsieur Fouché,

J'ai recu votre lettre du 31. Il faut prendre garde que le général Fressinet ne nous fasse ce qu'a fait cet infàâme général Thuring (1). Chassez-le de Paris. C'est un homme qui peut être mécontent. Il est venu à l'armée dont je l’ai fait renvoyer. — NAPOLÉON.

(Correspondance de Napoléon Ie, t. XV, p. 64.) (L

Le Général FRIANT

En 1817, le général Friant recoit de Napoléon Ier, 100,000 francs en argent et 100,000 francs en rentes sur

l'Etat. (Correspondance de Napoléon I", t. XVI, p. 53.)

Le Général GARDANNE

« Nous couchâmes le 13 juin à Montalto, etrle 14 à Ascoli, d’où nous rentrâmes à Perugia. « Pour rendre plus fructueuse la leçon que le général

(1) V. le général Thuring.