Matériaux pour aider à la recherche des effets passés, présens et futurs du morcellement de la propriété foncière en France

INTRODUCTION. 7°

exploitateurs (propriétaires ou preneurs à bail n’importe)un capital circulant de 28000 fr. (a)

Plus d’une fois nous avons eu l’avantage d'assister aux débats familiers des premiers agronomes de l'Angleterre. En opposition ouvertesur une foule de points d'économie rurale, ils n'étaient, pour ainsi dire, d’accord que sur celui-ci :

« Toute ferme, trop petite pour occuper « constamment lattelage d’une charrue, est « une occupation érgrate pour la famille qui « s’y livre et une répartition du sol arable « ruineuse pour les États qui auraient Pin& sanité de la forcer ou de la favoriser par « Jeurs lois. »

Quoiqu’ils convinssent tous qu'il faut des

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(1) Dans son 1. vol. des Annales de l'agricullure , où il indiqua cette étendue comme l’une des plus convenables, il partit des données suivantes qui sont les nôtres : 1.° Un petit fermier n'est jamais un homme aisé. 2.° Deux fermes, chacune de 175 arpens, exigent un quart de plus de bâtimens qu'une ferme de 550. 5.2 Pour un fermier qui pourrait soutenir une exploitation de plus de 350 arpens, il yen a mille qui sy perdraient.