Neunundsechszig Jahre am Preussischen Hofe : aus den Erinnerungen der Oberhofmeisterin Sophie Marie Gräfin von Voss : mit einem Porträt in Stahlstich und einer Stammtafel
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Qui peut vous voir, aimable Pannewitz
De votre cour voir le brillant spectacle
Tous les amours en toutes les beautés,
Une déesse, en un mot, accomplie,
Qui sur la terre enfin vous voit, Sophie! Peut bien aux cieux voir les divinités! Arrivé done à la voûte étoilée
En méditant le tour le plus mutin,
Tel que celui qu’un diable féminin
Mit en usage aux noces de Pélée,
J'entre en tenant votre gant “en main.
A qui le gant? — quelle est la main charmante Qui de ce gant relève la beauté? —
Dis-je, en feignant un air de verité, —
Car cette main doit être séduisante,
Chef d’œuvre qu'à! genoux il faut baiser
Si de la main le gant nous fait juger? Tout aussitôt Déesses de répondre
A laniss0n: „C’est moi qui lai perdu „Oui, c’est mon gant!“ — Il yous sera rendu, C'est bien justice et j'en fais la promesse. Allons, sgachons qui en est la maitresse,
Vous l'éssayerez, Mesdames, tour à tour, Pour notre juge ici, prenons P’Amour! Dans tous les cœurs soudain síiffle l'envie; Comment yous peindre un semblable débat. Jamais la pomme avec tout son éclat
N’avait causé 4e plus grande jalousie, Junon l’éprouve — elle a les doigts trop gros Pallas trop longs, — d’Hebé la main d’iyoire