Orateurs et tribuns 1789-1794

TABLE. députés du centre. — Célimènes politiques. — Un épouvantail jacobin : l'appel nominal. — La volonté qui agit surpasse l'esprit qui délibère. — Le cultivateur-député Moreau. — Hua, Gorguereau, Frondière. . . . . . . . VAUBLANC. — La véritable improvisation. — L'abus des discours écrits. — Faire des livres à la tribune. Une assurance lucrative contre le danger. — Qu'est-ce qu’un roi? C’est un porteur d'épée! — Le procès de

l'opinion publique : il n’y a point d'opinion publique, tout dépend de la conduite de celui qui gouverne, C'est moi qui la fais. — Gouverner est un art fait de force et d’habileté. — La fausse finesse. — Pour être persuadé de leur innocence, il me suffit qu'ils soient accusés par vous. — M. de Châteaubrun. — Le don de la réplique. — Maximes politiques. — L'habitant de Neufchâtel et l’assignat de cinq francs. — Charité intelligente. — Anecdotes. — Réponse à un optimiste : nous périrons d'un coup de bonne intention . .

LE BARON RAMOND. — Préfet par lettre de cachet. Ramond, littérateur, homme politique, naturaliste. Ses descriptions des montagnes. — Périr est leur unique affaire. — Relations avec Cagliostro. — Je les ai lus et ils me le paieront. — Quatre-vingt-trois ans et quatrevingt-trois maladies. — Son mot sur Lafayette : le fils aîné de la liberté française. — L'ombre d'un grand homme régnait encore. — L'heure des révolutions. Les nations ne sont jamais gouvernées que comme elles SOON Ce ce

LE GÉNÉRAL MATHIEU DUMAS. — Conversation avec Rewbell. — La politique de la résignation.— Le 18 fructidor. — Réplique à madame de Staël. — Les grands hommes modérés sont rares. — La stratégie de la guerre civile. — Vous êtes un imbécile, vous n’entendez rien aux révolutions. — Pensées de Napoléon : Ne pas vou-

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