Orateurs et tribuns 1789-1794

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TABLE.

loir tout le bien qu'on pourrait faire. — Mon pauvre

oncle Louis XVI. — Les deux batailles de Marengo. Conseil de Dumas au comte d’Artois. — La cocarde et la messe de Henri IV. — Toutira bien s’il vient chez

nous; tout ira mal s’il vient chez lui. — Le divorce provisoire par mesure de prudence pendant le temps de la grande épouvante

LEMONTEY. — Les jugements de la postérité, — Un écri-

vain humoristique. — Préciosité : l’émigration est une transpiration naturelle de la terre de la liberté. — Les observateurs de la femme : l'étude de l'éternel féminin. — Problèmes de métaphysique amoureuse. — Spurina et Paulo. — Dissertation du marquis de Kornlongen. La surprise du jugement dernier. — Quel dommage que cette glace ne soit pas un péché mortel ! — Ce que devrait être la modération : l’union de la sagesse et de la force. — Apologie de la morale humoristique. La faction Ces contents. — Afhalie par Racine et Lemontey .

LE COMTE STANISLAS DE GIRARDIN. — Stanislas de

Girardin; Jean-Jacques Rousseau à Ermenonville. L'amiral d’eau douce. — Épitaphe de Rousseau. Réponse de Girardin au prince de Condé. — Visite du premier consul à Ermenonville. — Mot de Gœthe à Napoléon. — Deux espèces de libertés. — La messe et la musique. — Le serment, inutile pour les honnêtes gens, ne lie pas les scélérats. — L'ordre de l’ingratitude. Les contrebandiers de l’Église. — Conversation avec Bonaparte. Un homme d'État doit parler toutes les langues et prendre tous les tons. — Un préfet bien à plaindre. — Comment M. Pasquier fut nommé préfet de police. — Madame Mère .

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