Étude des ferments des glucosides et des hydrates de carbonne chez les mollusques et chez les crustacés

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chaleur ; car, comment expliquer ce fait qu'une mêmé quantité de liquide digestif puisse faire, lorsqu'elle se PES contact de deux substances, une action quantitativement double de celle qu'elle est capable de produire en contact d’une de ces substances seulement. sinon d'admettre que ces deux substances sont attaquées par des ferments distincts.

Mais lorsqu'on obtient des résultats dans le sens du premier exemple que nous avons donné, amygdalinesalicine, où l’action du ferment se partage entre les deux substances contenues dans le mélange, on peut toujours faire l’objection que ces substances peuvent exercer réciproquement sur leurs ferments des actions empêéchantes.

En somme les résultats qu'on obtient par cette methode ont beaucoup plus de valeur lorsqu'ils parlent en faveur de ferments distincts que lorsqu'ils sont de sens

contraire.

De ce que nous venons brièvement d'exposer sur les méthodes que nous possédons pour juger s1 des actions diastasiques sont attribuables à un ou plusieurs ferments, et sur la valeur respective de ces méthodes, il est clair qu’on est dans l'impossibilité de déterminer

avec certitude à quels et à combien de ferments attri-