Anali Pravnog fakulteta u Beogradu

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ЕЛЕМЕНТИ ЕВРОПСКЕ БЕЗБЕДНОСТИ Y СПОРАЗУМУ О БЕРЛИНУ

temps des mesures concrètes ont été prises pour la création d’un nouvel ordre de la sécurité collective en Europe, qui devaient avoir pour but final le renforcement de la sécurité, le développement de la collaboration universelle entre tous les Etats européens et, enfin, la liquidation progressive de la divison de l’Europe par blocs. La signature de l’accord quadripartite relatif à Berlin et des autres actes de normalisation, tels que: les conventions de Varsovie, de Berlin et des autres conventions représente la formation des éléments du nouvel ordre de droit international de la sécurité et de la collaboration en Europe. L’accord quadripartite a une importance particulière à ce point de vue parce que dans son texte se trouvent contenus les éléments du droit international de toutes les périodes de développement de la sécurité européenne après la Deuxième guerre mondiale. De même il fait ressortir que les quatre Etats ont décidé de conserver, par l’accord quadripartite, les positions déterminées à Berlin, et de ce fait dans l’Allemagne tout entière, ce qui doit certainement avoir de l’influence sur le contenu et la structure de la sécurité et de la collaboration européenne. Dans l’Accord quadripartite qui a été élaboré sur la base des décisions interalliées antérieures et le status quo existant sont contenus les éléments des instruments de droit international de la première période de développement de la sécurité et de la collaboration européenne. Les quatre puissances contractantes se réfèrent très fermement à leurs droits et devoirs antérieurs et elles constatent que ces droits et devoirs restent toujours inchangés. Dans l’Accord se trouvent contenus, de même les éléments de la structufe subrégionale de la sécurité collective européenne. Leur acceptation confirme que dans le nouvel ordre européen de la sécurité collective sont introduits les éléments du statu quo existant, ce qui permet aux grandes puisances de conserver une position particulière dans ce nouvel ordre. La question reste toujours ouverte comment sera réglé le problème des rapports des décisions interalliées et de la Charte des Nations Unies, à laquelle il faut assurer la possibilité de l’application illimitée et entière dans la région européenne.