Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

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monsieur: le siècle où nous sommes est trop éclairé pour pouvoir confondre les connoissances que Boulenger réunissoit ; il étoit à-la-fois géomètre ;. administrateur , géographe , et avoit des vues réfléchies et profondes sur l’économie politique: Actuellement chacun est classé dans sa partie; on empiète rarement sur celle d'autrui. —— Dites plutôt, répliqua Burke, que Pesprit rétrécis absorbe dans la sphère qui le circonscrit , et que le génie seul plane sur tout ce que l'imagination lui présente d’avantageux pOUr SON Pays. +0! monsieur, vous êtes dans l'erreur , depuis que les Français analysent les idées et les sensations , leur esprit est devenu si délié , si subtil. — Oui, oui, dit Burke, si subtil que leur bon sens s’évapore.

Burke emporta son livre et rentra chez lui, On lui annonça la mort de Chattam: il éprouva une contrariété inconcevable ; ik m’étoit pas en mesure , son travail n’étoit pas fait, et il étoit trop sage pour se

mettre en‘évidence , avant d’avoir prouvé

à-toute l'Angleterre qu’il méritoit de suc+

céder à un homme qui avoit obtenu une : 8 L. n . r 1

considération presque générale, De ont

Être

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