Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française
(20) leur population ; aucune trace de la valeur du superflu , qui doit naturellement être dévolu à l'échange des denrées et marchandises étrangères qu’elle consomme.
Aussi les contributions foncières excèdent la mesure d’un impôt juste et raisonnable ; les denrées de première nécessité , quoique toujours au-dessus de leur besoin, deviennent néanmoins souvent rares , et elles leur manquent même quelquefois , parce qu’il existe des écoulemens inconsidérés ; leur commerce extérieur wétant pas calculé , une impulsion aveugle donne seule le mouvement aux échanges.
Vous devez bien penser-que cette position ; dont le Gouvernement français est distrait par la pénurie soutenue de ses finances , nous a donné de grands avantages. Mais ce n’est pas assez, je veux , mon cher Tom , préparer , calculer, et déterminer son entière ruine ! Voilà le but de mes recherches.
Damnation sur tous les Français ! dit le capitaine , Mais cCOnservons-1ous leur vin. __Nous le conserverons , répondit Burke,.… à votre santé, Tom, ..…. nous eûmes jadis un instant la province qui le produit. ....