Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française
(54)
les moyens. de pr cndre une para active. dans nos projets. 3.90 hansreatl s
- Paryenus à, l'époque & de. xt, ;. notre se tente métoit pas encore. entièrement. rerplie; mous avions cependant dépossédé plu sieuxs..: nababs, dans, l'Inde ,. nos. établissemensiy annonçoient, plutôt. une, puissance formidable....que( des;i :comptoirs } \de,.çcommerce ; eSSUE que.les, Français: voient. StAbEs a n'existoient plus, les rois qui habi-
toient ces riches contrées, avoient été forcés de, se retiser bien.avant dans les, iterres: set nous, possédions tou ours l’empire des mers. =: Nous avions réduit les Français dans leur, marine , NOUS profitions; d'une grande-partie de, leur: commerce, d'exportation; et d'importation » nous pre: enions dans leursports.….,
a] a DT mg die
bi somme &
_.Q ! pour cela, c ’est SE Vrak, Et le,capitaine ; mais je n’ayois pas encore songé > qu'ayant. gagné depuis-dix'ans, vingt mille livres sterling: sur. leurs denrées ,:.je leur: faisois perdre cette: aleur.… Je. concois actuellement que s'ils des avoient.exportées avec.keurs propres,vaisseaux,, etique s'ils. les avaient vendues , comme j'ai fait, cette, somme auroit tourné.à leur profit. :
-Goddem:! dit. Burke. taisez-vous ; VOUS