Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française
he qui est celui de toute la gent mercantille ; c'est le bon marché, eh bien, nous leur donnerons des marchandises à ha prix, ils, Y-gagneront individuellement, mais leurs manufactures s’anéantiront. Il importe peu à un marchand français de ruiner ses propres fabriques, pourvu qu’on lui procure des marchandises d’un débit avantageux,
IL importe aussi peu à leurs négocians, que les objets sur lesquels ils spéculent leur soient apportés par un navire étranger , ou par un de leur nation, > pourvu qu'ils y trouvent du bénéfice.
De légers sacrifices. nous mettront. à portée de leur présenter un apas, qu'aucune nation ne pourrait leur offrir.
Mon cher Tom, dit Burke, én prenant la main du capitaine, mon travail fini, je soumettrai à la chambre un nouveau traité de commerce avec les Français, qui préparera l'effet de mes dispositions. Vois-tu. ces lignes de chifres? c’est là où je vais puiser les moyens de mon triomphe, et la certitude de leur. ruine.
Burke parcouroit des yeux les deux tableaux ci-après, avec une joie qu'il dissimuloïit d'autant moins, que son Caractère zaturellement bouillant, se cachoït toujours