Correspondance diplomatique de Talleyrand. La mission de Talleyrand à Londres, en 1792 : correspondance inédite de Talleyrand avec le département des affaires étrangéres le général Biron, etc.

INDEX BIOGRAPHIQUE.

Sraër (Mme px). (1766-1817) Madame de Staël était en 179L Yamie dévouée et la conseillère de M. de Narbonne: elle recherchait les moyens de faire évader le Roi; mais son action, comme celle du parti constitutionnel, était bien réduite et bien discutée, p. #5.

SrarronD (le marquis DE). — Garde du sceau privé, p. 294.

Sraxmope (lord Charles, vicomte de Mahon, comte p£). (1753-1816.) — Se distingua dans les sciences et

Tarrgrsaiz (Richard). — D'abord jockey, puis entraîneur, organisa à Londres la vente à l’encan des chevaux. C'est à Hyde-Park Corner, dans un terrain fourni par lord Grosvenor, qu’il fit construire l'établissement qui porte son nom, p- 52.

Tervanr (chevalier nr). — Ancien colonel de Ja légion de Maillebois, au service des États-Généraux de Hollande, pensionné sur l’état de 1787. Envoyé auprès des princes d'Allemagne possessionnés en Alsace pour traiter de leur indemnisation. Ministre plénipotentiaire du Roi aux États-Unis (janvier 1791juin 1793). Une lettre d'office du conseil exécutif provisoire de la République aa Président des EtatsUnis le fait rentrer dans la carnière militaire dans la position de disponibilité. C'est Talleyrand qui lui fait solder, le 21 germinal an XII, l'arriéré de son traitement de 145,000 livres, qui lui était encore dù à cette époque, p. 428.

Tuuuow (Édouard). (1732-1806.)—

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dans la politique. Malgré sa parenté avec Pitt, il lui fit opposition à la Chambre des lords et fonda à Londres un club de propagande révolutionnairet Après avoir combattu vainement la déclaration de guerre à la France en 1792, il se retira des affaires pour longtemps. Il était le père de Lady Esther Stanhope, p- 146.

Sraruowr (lord). — Neveu du lord de Mansfed, auquel il succéda en 1793, président du conseil au début du cabinet de Pitt, p. 407.

Avocat, membre du Parlement, lord chancelier en 1778, conserva ces fonctions malgré Fox pendant son minisière, mais dut démissionner en 1783. Il reprit son portefeuille avec Pitt, mais se mit ples tard en opposition avec luiet, ma'gré l'appui de George II, dut se retirer en 1792, p. 136, 293.

Toscaxe (le grand-duc px), Ferdinand IH. (1769-1824) Avait succédé, en 1791, à son père Léopold. Il n’était pas hostile à la Révolution et fut le premier qui reconnut la République. Le gouvernement anglais le contraignit, malgré sa résistance, à chasser de son territoire tous les Français partisans de la Révolution. Il fut dépossédé par le Directoire et ne reprit sa souveraineté qu'à la chute de l'Empire, p. xxu.

Trèves (l'Électeur DE). — Clément Wenceslas, prince de Saxe, archevèque de Trèves, était l'oncle du due lecteur de Saxe, FrédéricAuguste. Né le 15 septembre1739, il fut évêque de Kreisingen (1768),