Inventaire des papiers de sir Francis d'Ivernois : conservés à la Bibliothèque publique et universitaire de Genève

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prière l'Empereur Alexandre fit dresser par l’Académie des sciencés, en janvier 1813. On y voit qu’une année sur trois, ou à peu près, la Russie éprouve des hyvers tout aussi hâtifs et sévères que celui qui détruisit l’armée française. Comment Napoléon négligea-t-il un document qu’il lui eût été si facile de se procurer et dont la connaissance aurait pu sauver la vie à tant et tant de braves, ensevelis sans gloire sous les glaces du pôle ? »

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Recherches sur la mortalité moyenne des principaux peuples Européens, considérée comme mesure de leur aisance respective, par Sir Francis d’Ivernois. (Genève 1829.)

Première PARTIE. (114 pages, dont 5 blanches.)

Section L. — Principes généraux qui régissent le mouvement des populations.

Section IL. — Importance de ne point confondre la mortalité moyenne avec la vie moyenne, ni celle avec la vie probable. Acception à donner à chacune d’elles.

Section IT. — Connexion entre l’accroissement de l’aisance des peuples et le décroissement de leur mortalité moyenne.

Section IV. — Recherches sur les causes qui ont jusqu'ici neutralisé l’effet de la vaccine.

Deuxième Parme : Investigation sur l'accroissement de la population en Angleterre. (64 + 65 feuilles).

Section 1. — La population de la Grande-Bretagne s’est-elle augmentée ?

Section I. — Résultats inattendus.

Section IT. — Documents parlementaires.

Section IV. — Analyse du deuxième rapport.

Section V. — Analyse du troisième rapport.

Section VI. — Accroissement de la population de Londres.

Section X. — Digression sur les causes de l’enrichissement des Anglais.

Section XI. — Épisode sur les compensations dont les manufac-

tures et le commerce de la Grande-Bretagne furent redevables aux * fausses mesures de l'Empereur français.