La correspondance de Marat
.. APPENDICE
Afin de ne négliger aucun des éléments qui peuvent concourir à donner un tableau à peu près exact de la currespondance de Marat, nous reproduisons ici quelques courtes analyses de lettres dont nous n’avons pu retrouver le texte complet, et qui ne nous sont connues que par les indications des catalogues d’autographes :.
I. — Lettre autographe signée, à M. Macquer. Paris, 8 février 1718. Deux pages in-4°. Médecin des écuries du comte d’Artois, il est en butte aux calomnies de ses adversaires, qui le représentent comme un inconsidéré qui affiche des talents qu'il n’a point, ou un fourbe qui se vante de succès qu'il n’a pas eus, etc.
IT. — Lettre autographe signée. Une page in-4°. I] sollicite la faveur de publier son ouvrage sur le feu sous les auspices de l’Académie, et, au cas où cette grâce lui serait accordée, il désire que MM. Le Roy et Sage soient nommés commissaires.
1. C’est à l’obligeance de M. Noël Charavay, expert en autographes, que nous devons la communication de ces documents,
24.