La Serbie
nous ne saurail être salué par nous. Nous ne voulons pas influencer les relations futures de la Serbie et du Monténégro avec la Monarchie par des moyens qui sont opposés aux relations de bon voisinage. » . <
Toul en nous réservant de revenir, dans notre prochain numéro, sur ces « révélations » du comte Czernin, nous nous bornerons ici à dire que l'exposé de M. Pachilich, que nous publions ailleurs, est fa meilleure réponse à la fausse affirmation du ministre autrichien que la Serbie serait disposée à conclure une paix «autrichienne », mais que l'Entente Ten empèêcherait!! Cette intrigue vaut bien celle çoncernant M. Clemenceau et sa prétendue demande de paix.
Les peuples-mercenaires
Une dépêche de l'agence Havas annonçait l'autre jour la présence de troupes austro-hongroises et bulgares sur le front français. L’illusion d'un grand nombre d'hommes politiques alliés, sur les « véritables » dispositions des Bulgares, Magyars et Allemands d'Autriche, sera donc complètement dissipée, et l'obstination à voir dans l'ennemi d’un front exentrique l'ami éventuel sur le front principal, l'obslinatton qui a élé la cause de maints malheurs, cédera la place, espérons-le, à une meilleure compréhension des facteurs en jeu.
Les Turcs, les Bulgares et les Magyars, il faut les prendre tels qu’ils sont, et non pas tels que nous voudrions les voir. Nous faisons abstraction des Allemands d'Autriche, parce qu'ils sont au moins aussi pangermanistes el mililaristes que ceux de l'Empire. Les Slaves d’Autriche-Hongrie sont des peuples esclaves, qui sont forcés d'aller se battre partout où l'on les expédie. Les Turcs, les Magyars et les Bulgares forment un groupe à part qu’on pourrait appeler peuples-mercenaires. Sous le nom de mercenaires, on comprend les gens qui travaillent dans l'intérét d’un autre et pour un prix convenu.
C'est précisément le cas des trois peuplades citées, loute trois d’origine louranienne. Le cas turc n’a rien d’extraordinaire, le cas magyar non plus. Mais le cas bulgare a soulevé quelques doutes, d’abord à cause d’un mélange slave qui a fait croire pendant longtemps que les Bulgares seraient des Slaves et partant incapables d’une telle fonclion ; et ensuite à cause d’une propagande intense dirigée par le roi allemand et deslinée à induire en erreur l'Europe occidentale. Et cependant le cas bulgare est typique, et il démontre plus que tout autre que, entre les peuples libres et les peuples asservis, il existe une troisième catégorie: les peuples mercenaires. Toute la conduite des Bulgares le prouve. Les Bulgares ont toujours servi les desseins d'autrui et leur attitude dans les questions balkaniques et européennes n’a jamais élé dictée par un intérêt vraiment bulgare. Les Bulgares réclamaient la Macédoine pour servir l'Autriche ; ils aspiraient à Constantinople pour satisfaire l'Allemagne. En 1913 ils attaquèrent les Serbes et les Grecs sur un signe de l’Autriche-Hongrie, et en 1915 ce fut l'Allemagne qui les loua pour lui aider dans la campagne balkanique. En 1916 les Bulgares marchandent leur concours dans l'offensive contre la Roumanie, en 1917 ils viennent en ltalie, et en 1918 on les retrouve sur la Meuse. À ceux qui s’etonnent loujours nous conseillons de ne pas se casser la tête pour pénétrer le prétendu mystère bulgare. Ce mystère se réduit à un seul mot: mercenaires. Et cela explique tout.
R.
D
LA SERBIE
D ne. = Tnt ee Ne eme 4 nf eue ne ME ARTE RER RS ER EE OS ele I NN EU Run
La paix séparée avec la Roumanie
Dans son fameux roman &Le Roi des Montagnes », E. About, parlant dun MalLaïs, un cerlain Giacomo Fondi, disait: « On trouvait aisément la limite de son intelligence, mais on n’a jamais connu les bornes de son appétit » On pourrail en dire autant des dirigeants de la politique austro-allemande. .
Bornés et insatiables qu'ils sont, Les hommes d'Etat allemands me se contentenf pas d'avoir arraché à la Russie par la paix de Brest d'immenses Lerriloires, mais ils agissent de même à l'égard de la Roumanie, à laquelle ils enlèvent la Dobroudja pour la donner aux Bulgares el une parlie de la Valachie pour en faire cadeau à l'Autriche. En plus ils obligent les Roumains à leur céder l'exploitation de l'industrie pétrolifère et le monopole des exportalions de céréales.
La mort dans l'âme. le roi Ferdinand a dû signer la paix humilianite de Cotrocenf, qui natleint pas seulement la Roumanie dans ses intérêts vitaux mais encore dans sa dignité d'Etal souverain et libre. De tels affronts, on ne les oublie jamais. C'esl en réalité l’histoire de Carlo Alberto après sa défaile de Novare, ‘qui se répèle aujourd’'hui en Roumanie.
Or, le Piémont, en ajournant alors ses revendications, n'abdiqua pas. La Roumanie non plus ne pourra renoncer pour loujours à ses aspirations légitimes. Les Autrichiens, d’ailleurs, s'en rendent
. bien compte el conscients du danger: ils
semblaient tout disposés à renoncer de leur part à de nouvelles annexions. Mais l’AIlemagne veillail. Elle visait d'autres Eults. C'est pourquoi elle ne voulail pas seu-
lement d'annexions pour elle. mais elle en néclamail aussi pour ses alliés. Connaïüssant le caractère peu altruiste des
Allemands, on pourrait être surpris de alliés.
les voir songer aussi à leurs Pour bien comprendre ce gesle, il faul lâcher d'en découvrir des motifs. Or le
motif en serail le désir de l'Allemagne de faire de ses alliés d'aujourdhui ses complices de demain. En partageant avec eux le butin, elle croit qu'une fois la guerre finie ses alliés seront obligés de resler à ses côlés, et que même après la guerræ ils ne pourront se détacher de son étreinte. Car ils auront les mêmes intérêts à défendre, les mêmes responsabililés à partager, les mêmes ennemis à craindre.
Frédérie [Il poursuivait la même pofi-
tique lors du partage de la Pologne. Bis.
marck agit de même en incitant PAutriche à s'emparer de la Bosnie.
En poussant aujourd'hui lAutriche en Valachie, on voudrait, pour la troisième fois, faire de cette puissance une complice de l'Allemagne. En effet, il nest que trop évident que l'Autriche ne pourra conserver ces acquisitions nouvelles que solidement appuyée sur l'Allemagne. En agissant comme elle le fait, lAllemagnie n°espère point se concilier les peuples qu'elle vient de spolier.
Or. ce n’est pas le cas de la Monarchie dualiste. Là on se rend bien compte qu'une paix extorquée, comme celle qu’elle a conclue avec les Roumaïns, n’est pas une paix mais plutôt une trève. Il faudra donc se préparer à de nouvelles luttes. Et l'Autriche ne peut guère s'accoutumer à l’idée d’une guerre permanente avec Ses voisins. En raison des difficultés énormes où elle se débat, l'Autriche soupire après une paix qui la soulagerx du fardeau
énorme qu’elle est obligée de porler grâce à son alliance avec l'Allemagne.
Après avoir dépouillé ses ennemis el ses voisins, l'Autriche voudrail €onrlinuer de vivre avec eux en bons amis et «en excellents voisins. Seulement elle ne sait pas comment s’y prendre pour arriver à cette fin. La perplexité dont la presse autrichienne fait montre en celle occurence ne pourra qu'amuser nos lecteurs. La mentalité autrichienne représente un cas intéressant. Cette mentalité tient À la fois de la naïveté et du cynisme. Voici par ‘exemple comment s'exprime au sujel de la paix avec la Roumanie, le plus important des journaux viennois «La Nouvella Presse Libre» (le 20 mars, No 19242):
«La conclusion de paix de Gotroceni à laquelle serail jointumcontrat d'alliance pourrait servir de modèle pour être imitée dans les futurs rapports, et pourrait êlre considérée €omme une entente véritable si elle reposait sur la volonté du pe uple roumain. On pourrait forcer un neuple à conclure une paix, mais une alliance qui ne résulterait pas du sentiment général et libre de la nécessité politique n'aura aucune valeur el ne gara ail pas que les événements de la guerre actuelle ne se répètent pas. Pourquoi les Roumains ne pourraient-ils cependant saisir le besoin d’une entente? Le président Wilson wavait-il pas dit que son but de guerrc était que les grands et les petils peuples vivent dans une complète sécurité. Le peuple roumain voudra-t-il négliger cet avertissement et ne voitil pas ce qui arrive en Hollande sur ce sol vénéré, et quelle contrainte y subit le ministre des affaires étrangères? La Roumanie ne peut rester seule. Si elle ne Favailt pas appris du passé alors la guerre avec la garde Rouge qui essayail de dévaster le pays, d'après l'exeniple russe, devail la convaincre du besoin dun appui On ne peut prévoir comment les choses vont se développer en Russie etil serait bon qu’un petit peuple qui se sent pressé par son voisin se réfugie sous la proLeclion des puisSanceis centrales. La question serailide savoir si celle opinion va pénétrer les Roumains afin qu'ils ne cherchent pas cette protection seulement comme le dernier refuge el lasile politique, c’est-à-dire lorsqu'il ne leur reste pas autre chose à faire. L'alliance serait une vicloire si elle confirmail une paix d'entente, ÆEïlle devra pourtant être. une
alliance populaire et véritable résultant à la fois du sentiment (sic!) et du
besoin. »
On ne pourrail en effet, se moquer des gens avec plus de cynisme que ne le fait le journal autrichien. Prétendire que les Austro-Allemands en imposant à la Roumanie un traité de vasselage polilico-économique ne désirent pas autre chose que de réaliser le programme de Wilson qui réclamait pour tous les peuples, grands el petits, la même garantie de sécurité, cest en effet se moquer de ses lecteurs.
En contemplant les perplexités où se débat cette feuille « clairvoyante » dis-
cutant cette question avec une sincérité
autrichienne on voit que l'Autriche malgré les velléités pacifistes de Tlempereur Charles et du comte Czernin, a été obligée de suivre une politique annexionniste contraire à ses propres intérêts. [IL faut à présent toute la souplesse et tout le machiavélisme de la presse autrichienne
Samedi 6 Avril 1918 No 1q
sour persuader leurs victimes qu'elles dojvent se laisser dépecer tranquillement en conservant pour leurs bourreaux les meilleurs sentiments! Les Roumains auraient. ils tort de ne vouloir pas Comprendre qu’il est dans leur propre intérêt d'être
mangés à la sauce allemande plutôt que :
d'être avalés dans une salade russe,
Mais le comble d'hypocrisie el de cynisme atteint le journal viennois lorsqu'il parle du sentiment latin des Roumains, « Honneur au sentiment latin des Roumains, écrit-il, mais quel profil les Roumains liraient-ils au point de vue national de ce que leurs’ boyards se laissaient plu. mer lors de leurs séjours À Paris et à Londres? » L
Les Austro-Allemands, après avoir Saigné à blanc le pays roumain tout entier, fon semblant à présent de plaindre les boyards roumains pour avoir été plumés auparavant à Paris et à Londres! En effet, on n'a le droit d'être plumé qu'à Vienne et
à Berlin. _ | M. D. MARINCOVITCH.
La perfidie de la « Neue Freie Presse »
Tout le monde connait les tentalives autrichiennes de s'approcher des puissances de PEntente, tout en reslant en alliance élroile avec Allemagne. L’Autriche a toujours pratiqué l'attitude du double jeu, et elle espère encore aujourd'hui en tirer quelque profit. Les émissaires de Vienne pullulent en Suisse, mais la plupart d’entre eux .sont obligés de retourner en Autriche sans aucun résultat Les paroles séduisantes, es promesses vagues d « émancipalion » de lAllemagne & d'inauguration d'une : politique purement autrichienne, rencontrent quelque crédit, mais dès qu'il s'agit de préciser et d'amener une transformation (de la vieille Monarchic dans le sens de laffranchissement de ses peuples, alors la conversalion s'éteint. automatiquement. Cest ce qui est arrivé récemment au professeur Lammasch, Cest ce qui a fait échouer aussi la démarche ducomte Albert Mensdorff, celui qui, selon le témoignage du prince
Lichnovsky, a défendu à Londres, avec ar-
deur, la politique de strangulation pratiquée par l'Autriche vis-à-vis de la Serbie. Le comte Mensdorff ses rencontré, en Suisse, avec le général anglais Smuts, pour examiner les possibililés dum rapprochement anglo-autrichien. L’Angleterre ayant demandé des actes, le représentant autrichien a offert des promesses, ce qui a dû sceller le sort de la conversation.
Mais comme au Parlement anglais on avait demandé des explications au sujel de Fentrevue Mensdorff-Smuls, la «Neue Freie Presse », furieuse de cette indiscrélion, qui démasquait la polilique d'intrigues de Vienne, altaque, dans le numéro du 17 mars, le général Smuts en des termes offensauts, et jure solennellement que l’Autriche-Hongrie est loyale et qu'èlle n’abandonnera pas son alliée, l'Allemagne! Mais le plus malhounête, c’est l’aceusation lancée au général Smuts que c'est lui qui a cherché et obtenu une entrevue avec le comte Mensdorff!!
nalionales,
FEUILLETON
PFetar Preradovitch
— Æ l'occasion de son centième anniversaire —
Petar Préradovitch, un de nos plus grands poèles, cammença son travail littéraire au moment où le nom d'Illyrien fut prohibé et les « [lyriens » poursuivis el maltraités. Préradovilch naquit le 19 mars 1818 à Grabrovnitsa,, en ‘Croatie. Son père, officier servant dans les troupes de frontière, mourut de bonne heure et le futur poète s'engagea, encore enfant, dans lécole militaire de sa ville. natale. Après avoir achevé cette école, il fut. accepté à l’Académie militaire de Wiener-Neustadt, où il passa huit ans, de sa dixième à sa dix-huitième année. Là, il fut élevé dans l'esprit allemand. Déjà, comme élève de cette Académie, il composait des vers en allemand et oublia presque sa langue maternelle; de retour dans Son pays natal, comme jeune officier, il avail peine à s'entendre avec sa mère dans sa Jangue maternelle. Mais heureusement, le jeune poète dénationalisé fit connaissance, dins son district militaire, avec Ivan Koukoulyévitch-Sakcinski, l’apôtre ‘de l'Illyrisme et homme di lettres distingué, qui exerça sur Préradovitch! une influence sensible.
Cependant la Dalmatie — mon cher pays bien aimé, « orgueil de notre peuple entier », comme dit la chanson nationale, — sauva ocmplètement notre grand poète !
* En 1842. un décret ordonna le déplacement de son commandement de Milan en Dalmatie. Dans son voyage vers sa nouvelle destination, Préradovitch! s'arrêta pendant quelque temps à Venise, où il passa tout son séjour ‘en compagnie de officier Spira Dimitrovich, de Cattaro, qui était un Yougoslave ardent et écrivain zélé. Chaque
soir ils discutaient ensemble les questions lisaient les poèmes de Katchitch, etc. Arrivé à Zadar (Zara), il connut Anta Kouzmaniteh, qui était préciséiment en train de fonder le périodique littéraire « L’Aurore dalmatienne » et qui insistait pour que Préradovitch donnât un poème pour le premier numéro. Celui-ci, pressé par Kouzmaniteh, donna suite à sa demande el composa le poème: « L’aurore point — le jour viendra! », qui parut en 1844 dans le premier numéro du dit périodique.
Le poème produisit un grand effet. C'était une véritable révélation d'un talent ignoré: chacun se rendail compte de limportance de cette acquisition dans le domaine de notre littérature. Par ce premier poème, l’auteur prouva qu'il possédait souverainement sa langue maternelle et qu'il dominait avec sûreté le vers qui charmait et séduisait par son harmonie et par sa spontanéité, Ce premier poème avait enivré notre public, surtout parce que notre idée nationale y élait exprimée avec un profond senliment et d’une manière vraiment admirable. Presque tout son travail ultérieur fut inspiré par cette même pensée, laquelle, tantôt avec plus de tendresse, tantôt avec plus d'élan retentit dans chacun de ses vers.
I1 pouvait être considéré comme sauvé. La brebis égarée revint à son troupeau, le poèle à son peuple. Encouragé par ce succès. Préradovitech s’adonma, autant que son service embarrassant el dangereux le lui permettait. à la « Vila (Muse) slave ».
Déjà dans sa première année de travail littéraire (1844) i décrivit deux poèmes mémorables: «Le voyageur » et « Les frères ». Dans le premier poème, le poète parle, d’une façon touchante, de lui-même en disant qu'il s'était égaré dans une nationalité étrangère et qu'il était ensuite revenu à sa patrie et à son peuple. Dans le second, il fait le procès des querelles insensées el sans objet entre les Serbes et les Croates. Puis vient, en 1845, la poème « Le grand-père el le petit-fils », dans lequel est présenté admirablement ce que devrait être le devoir dun poète
patriote. Ces premiers poèmes son expression de la renaissance du poète et du peuple lui-même, à la fois.
La rédaction de « L’aurore dalmatienme » de Zadar se trouvait en somme entre les mains de Préradovitch el il l'engagea dans les rangs illyriens. Là, il s’éprit de la fille d’un fonctionnaire, qu'il épousa plus tard (1848) et il lui dédia plusieurs poèmes amoureux (1846). [1 dut quitter Zadar pour aller à sa nouvelle destination, à Budapest. Ce fut alors que parurent « Les premiers essais » qu'il avai consacrés à Son amour de Zadar. Ce premier recueil de ses poèmes fut pris d'assaut. Préradovitch était l'objet de l'admiration du monde lettré et du public. Le second recueil de ses poèmes a paru en ‘1851 et il le dédia à l’évêque Strossmayer. Plus tard, il consacra à ce mécène de génie, à ce favori du peuple, deux belles odes dans lesquelles il glorifie, entr’autres, Strossmayer comme missagier' des nouveaux jours et comme précurseur de la not velle civilisation humaine (1). °
L'année 1849, Préradovitch vint à Zagreb et fut nommé adjoint du ban de Croatie, Iélatchitch. La profession de ee s’accordait mal avec son caractère et il en souffrait . Dion one Dans sa professiôn, il se sentait « comnye Un HIER EN lAISSe ». Il était conscient de ce qu'il versait 50% sang pour un salaire et comme épilogue à sa lulte, i écrit Ces vers pleins d’amiertume : 7
€ Ah, co i p. » Comme il est doux d’immoler sa vie pour ses sentimenis ardenls !
«Pour 1 i € salaire, verser son sang, quelle douloureuse besogne 1! »
Une cela il avançait dans sa carrière jusqu'au
M R nos al. 11 passa la plupart du temps en, dehors
Sail pus yers lequel il aspirait constamment el qu? ait dune tendresse et affection filiales.
r au concile
1) Le poète fait surtout allusion à j’ t cela fut
du Vatican, quand on discut attitude franche et courageuse de Strossmaye valut le renom d'un grand a Proclamation du dogme sur l'infaillibilité papale €
ne
si lens M LA ER
| |