La terreur à Paris

LA TERREUR A PARIS

LES MAITRES DE PARIS

La Terreur. — Par qui Paris était gouverné. — La névrose sanguinaire. — Marat. — La fête du Bourg-Régénéré. — Danton. Saint-Just. — Desmoulins. — La guerre à l’Europe. — Couthon. — Les sensibleries des sanguinaires. — Les madrigaux de Robespierre. — Le lapin Fréron. — Bourdon de POise. — La pitié de Grégoire. — Les bêtises. — Les folies amusantes. Les boucles de Piorry. — La vanité de Louvet. — Romme le faux bonhomme. — Le doux Lasource. — Le prophète du faubourg Saint-Antoine. — Les pâtissiers liberticides. — Sottises révolutionnaires. — La citoyenne Reine Chappuy. — Les rois de pierre dénoncés. — Le sacré cœur de Marat. — L’inhumation des citoyens. — La haine de l'Histoire. — L'égalité selon Legros. — Monsieur et citoyen. — Mayer et Hondeyer. — Le peuple hait les Jacobins. — La peur règne sur Paris. — Une assemblée de lâches que dominent des brigands. — Aussi lâche que Merlin. — Qui tremble est coupable. — Les aveux du grand Carnot. — L'héroïsme des Girondins. — Les crapauds du Marais. — La persécution religieuse. — L'observateur Dutard. — La Fête-Dieu de 1793. — Il faut des marchés républicains. — Les francs-macons. — Les ministres serviteurs de tout le monde. — C'est un patriote.

« Athènes n'était plus qu'un vaste tombeau habité par la terreur et le silence; le geste, le coup d'œil, la pensée même devenaient funestes aux malheureux citoyens.

FGKA