Le général Duphot : 1769-1797 : avec un portrait

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lock, lui dit-il, se recommande de son aïeul.et de ses oncles, nobles Irlandais morts pour la France, et de son père, lieutenant-colonel, gravement blessé à Fontenoy. Quant à vous, simple fils d'ouvrier, vous manquez de naissance; l'avancement est presque impossible. L'enfant reste inflexible et quitte Juill Je 26 novembre 1784. »

A Lyon, sa famille fit l'impossible nu le dissuader d’un projet qui ruinait toutes ses espérances. Le métier des armes n'était pas fait pour lui. Végéter comme simple soldat pendant de longues années, gravir ensuite lentement les échelons inférieurs de la hiérarchie et, une fois obtenus les galons de bas-officier, borner là son ambition sans espoir d’arriver à l’épaulette, puisque les officiers ne se recrutent que parmi les gentilshommes à quatre quartiers, voilà le bel avenir qui l’attendait. Le jeune Duphot parut se rendre à ces raisons. Pendant plusieurs mois, d’abord élève architecte, puis étudiant en chirurgie, il se résigna à des occupations sédentaires peu

en rapport avec ses goûts. Mais quand”: