Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques
xxiv atteliers d'armes et de salpêtre se sont élevés de toute part: la chirurgie a réparé les maux de la guerre ;’ et les cicatrices de nos soldats, fermées , attestent son zèle et son activité + la médecine même a fait des prodiges qu’on n'avait pas lieu d’attendre d’elle : d’autres sciences bienfaitrices ont éteint la foudre qué les tyrans nous ont lancée, et rien n’a pu arrêter celle que nous avons renvoÿée aux tyrans : j'aurais pu célébrer ces divers miracles, ils n'étaient pas moins dignes d’êtres chantés que ceux de la poésie, de la peinture, de l'architecture, je l'avoue, mais mon poëme était déja bien long, et il ne faut pas fatiguer-ses lecteurs, même en disant la vérité.
Lisez d’ailleurs le journal d’agriculture et des arts, vous y verrez chaque jour de nouvelles découvertes.