Le traitement des prisonniers et des blessés par les Austro-Germano-Bulgares : résultats de l'enquête exécutée sur le front de Salonique

Serbes maltraitaient leurs prisonniers. » — Josern Urecar, du 42° régiment d'infanterie prussienne. €

« Je me suis rendu aux comordjis (soldats du train) et j'ai été bien traité. » — Marko Arnaxasorr, du 12° régiment d'infanterie bulgare.

« Je suis très bien chez les Serbes. » — Varvio Gorcuerr, d'Opan, du 12° régiment d'infanterie bulgare.

« J'ai été très bien traité par les Serbes. » — Gorcue Kornorr, de Ketchig, du 12° régiment d'infanterie bulgare. |

« Depuis que je suis prisonnier, personne ne m'a fait de mal. » — Koserr Dinou Yonerr, de Beukoski, du 12° régiment d'infanterie bulgare.

« Je me suis rendu aux Français, qui m'ont envoyé aux Serbes. Ceux-ci m'ont très bien traité. » — Perar Drexerr, du 12° régiment d'infanterie bulgare.

« Depuis ma capture personne ne m'a fait de mal. » — Kosra Sroixorr, de Lebenoff, du 12° régiment d’infanterie bulgare.

« Je suis très content depuis que je suis prisonnier. Personne ne m'a grondé et personne ne m'a battu. » Desrerr Srerax YEeLerr, du 56° régiment d'infanterie bulgare.

« Je n'ai pas à me plaindre de ce qui se passe ici, mais je me plains de mes chefs bulgares, qui ne m'ont pas permis de soigner ma blessure. Mon chef de compagnie, le lieutenant Georgi Mitreff, s’est blessé lui-même