Les Préfets du Consulat et de l'Empire

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petite cure dans le département du Gers qu’en 1826. Mais il n’y resta paslongtemps: des incidents plutôt fâcheux l'obligèrent à un départ clandestin et précipité en 1829. Il se retira à Paris et termina dans l’obscurité une vie bizarre sur laquelle le nom de son frère avait seul jeté quelque éclat (1).

* Fu

Beaucoup de préfets de l'Empire étaient déjà morts en 1815. Jean-Bon-Saint-André avait succombé en 1813, à Mayence, dans une épidémie de peste; l'ancien conventionnel Guillemardet était mort atteint d’aliénation mentale en 1809 : Mounier, Châteauneuf de Randon, Bureau de Pusy, de Lacroix, Belzais-Courmesnil et d’autres figurants de la Révolution s'étaient éteints à l'apogée de l'Empire. Le comte de Plancy, bouleversé par les derniers événements avait récem-

mauvais sujet voudrait dépouiller ses enfants. Mon intentionest de

nommer un tuteur d'office. J'ai confiance dans la mére. Je n’en

ai aucune dans les oncles. Je veux qu’ils ne se mélent en rien des

affaires du maréchal (15 juillet 1809. Archives nalionales À F 1v 881. (4) Cézerac (Revue de Gascogne 1905).