Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

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du pouvoir arbitraire de leurs fuccefleurs , par une conftitution capable de leur aflurer la jouiffance parfaite de leurs droits naturels. Par ces délits, ces bons rois fe font rendus coupables de tous les crimes de leur poftérité, de tous les maux qu’elle a fait à leurs peuples. Puifliez-vous, fire, être bientôt dans l’heugeufe néceffité de vous préferver de ces reproches ; en vous en préféntant les principaux moyens , je crois vous avoir donné des preuves certaines d’un zèle éclairé pour vos intérêts, & du profond refpe& avec lequel je fuis, &c.