Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

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faiblesses. et.les,vices srpôur en labuser 5: pouE se, frayer des routes -iuxhonneurs) aux-emplois , àla, fortune , ét; pour, acquérir surcés-princes un ascendant, aussi, : funeste : pour. céuxséi: que: Me leurs peuples. . à À f : ieer

a Vous auriez pu, Sirejoévirer ces: dangers’; en. YQus-tenant sans «cesse rengarde contre ces perfides ladulateurs , -en:lés contenañ dans le: devoir par-l'émulationser lalerainte:; enrles ass: sujétissant. à la responsabilité) da nt sévère ÿ vous seriez ainsiuresté uhbre, d'exercer: tous : és actes. de justice eb de:1biénfaisanceh iquet Yos peuplèsadienr: “rôit d'attendre ide vous étqyos auriez aa0quis: {par : Cette: hconchute:;: lan puissance” siflatteuse que idonnent J! estime ut le respeetoet la reconnoissance d’une nation, au liewiique vous êtes réduit: àun déspotisme quine-se sûutienthque| par - les: :s0llicirudesy continuelles : de la politique la plus astucieuise et la plus rapace: "1

: J'aiodes preuves 1que: vous Avez ; Site; 1isenti cesvétités- ‘dans lé] commencementode’ votre règne; pourquoiles avez-vous) abandonnées des!

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