Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

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pour imposer plusi facilémentla loi à vos ner, vobs lavez-eu la: dextériré de’ choisir! Pour ° mé diateur le «cabinet de Turin , ‘dirigé depuis RE tems: par celui ide Se. dasesn Ce ‘moyen vous a - réussi ; vous n'avez éprouve aucuñe" Contra= afaoa vous avez obtenu rout ‘ée que (vous desiriez, en conservant les. apparences de’la plus grande: Eee Charles Emnranuel 2 passé pour-être J’auceur des articles lqué vous aviez dressés vous+ mêmes vous avez eu l'adresse de faite croire. à: Europe: que vous aviez préparé la: paix pde Hubersboirg; de 15631, quoique cétte-paix ne fütque: Pouvrage da GrañdF rédéric fe etees-prenriers-succès dans Part de gouverner; auroiene- ton enconriger àbfaire de’ mieux ésmiqnel He! nÜrren JMS E Sonse2idrnos FI ‘ile ne-vousiattribue 3 Sireÿ ces ee actes de votre ‘règne , que parce /‘qu'alors pleinp d'acs tivité;settoujours à la tête de Votre ministère, vous/travailliez effectivèment “avec: àassiduité.: que vos conseils voient da plus grande: influence. dans les ‘affires qui. ser: traitoient ‘dans Votre: cabinet}, etiqu'enfin, sachant apprécier 1e mérite, de chacun de:vos rinistrés ; vous aviez le bon: espritde ne vous confier albrs qu'a plus habile | ét de ne chercher Votre, aggrandissèement. que: dans: lé bonheur : dé vos: peuples: Mais: cela ne dura pas: mais ;-et bientôt: de :notveaux,