Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

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aussi clairement que nous qu'il: est decnotre: vétitable intérêt réciproque ‘d'être libres retide; fraterniser ensemble, pour noûs'parantir récre p'oquement la jouissance de nos droits naturels; civils et politiques, pour nous rendre mutuëllément fiches ét heureex; ils ne'peuventise dis simuler les’ biens incalculables qui résulteroiènt pour ‘eux , ‘pour nous} pour tous lés”peuples, de l'ünion ét'ide la prospérité des deux nations les plus éclairées! les plus libres, a Lt fiches et les plus’ énergiques. li usq: isn$

"Votre ‘nation ; Sire ; est forcée épique nOù$ n'avons aucun tort envers elleS qüé nous n'avons ptis lés armes que contre les despotes: qui se sont coalisés contre nous’ pour añéantir cette déclaration qui leur arrache, et'aux nobles et'aux prêtres catholiques ‘les! drôies dont ils ont dépouillé l'homme erles peuples: -quénons né vous ‘déclarons la guéfre que parce quéivous vous étés réuni à cette coalition; votre nation voi aussi, Sire "que fotre déelaration de gherre cohtré vous séra nulle", dès l'instant qu'elle vous ‘fefuséfa les secours suicides que ous Ri° démandez: pour /éombättre une révolution qui ;' lpar ses succès" doit “dévenir : l'évènefnént le plus heureux : ‘pouruellér,: eri}e plus malheureux ; s'il étoit possible : qu’elle ofüt

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