Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

(26) que celles de leurs. tyrans. Ces _ calomniateurs. ‘attribuent, à à notre. nation “entière Finjustice de “quelques contributions. exigées de peuples amis par quelques-uns de nos mandatäires , et désavouées Bar, la majorité de notre, yhiorl Ils lui sattribuen at les rapines de quelques pourvoyeurs » quoique ces rapines! soient. communes par-tout à Ja “plupart des gens de cette espéces ils Jui attribuent les déclamations imprudenges ou incendiaires de quelques c cerveaux ss qui, par-tour où. Jes Opinions. sont:

, abusent de cette liberté p pour “développer des idées ridicules ou xévoltantes ; Îls attribyent la: toute notre ration les attentats de. quelques scélérats qui ont pile. leurs concitoyens, et qui ont ensanglenté la terre de Ja liberté, mais qui ont. été Pays pour commettre ces. Cimes par ceux mêmes qui nous les reprochent , et qui. . désespérant de nous vaincre. dans les, combats, ‘s'efforcent de. nous détruire par des dissensions intestines ; ; puis, d' effrayer leurs esclaves de notre anarchie, pour les contenir dans la servitude A] -et.pour les dégoürer du SANS SRE EG publicain. lo he

C'est ainsi, Monseigneur, que. ve despares et yos suppôts , ne cessez de nous. calomnier, et d'opposer au ‘tableau des maux

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‘dont vous nous afligez, ‘celui de: la SÉUMAON.

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