Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

(4) montent à la même somme au moins, vous fMmettoient en état d'exercer toute ia bienfaisance et la générosité d’un grand Prinçe; vous avez préféré d'avoir des esclaves, d’être un LEJFAN ; et vous ne serez nt plus rien,