Matériaux pour aider à la recherche des effets passés, présens et futurs du morcellement de la propriété foncière en France
SUPPLÉMENT, ri
haute Écosse (x), et lorsqu’après lui MM. Malthus, Simond et M. Cullock y sont rentrés dans leurs analyses du nouveau Codé eivil de læ France, ils
(1) Son travail, qui le plaça d'emblée no Ja constellation des économistes dont les: doctrines et les conseils n’ont pas moins earichi l'Écosse qu ils l'ont illustrée , a ceci de propré à le faire lire sans préventions par les fräncais , qu'il y a traité la question exclusivement pour son pays,et sans paraîitre s'être douté dé ce qui se passait alors chez eux: Personne n’a mieux établi comhien les trop petites fermes sont nuisibles à l’agriculture, et combien sont souffrantes et improductives les familles qui y végètent.
« Extremely small possessions of land , while they keep the cultivation of the couniry in the hands of men incapable of attempting any improvement that réquires expense , lëad, at the same time, to ab excessive want of œconomy iñ the rüost essential points. In the Highlands, we fre: quéntlÿsee as many horses employed upon ten or iwelve atrès Of land, as might have beëen suficient for the culivation ofuhirty or hr. .. The occupier of a minute portion of land, who, withoutany other source of profit', can raisé liule more produce than enough for his own consumption, has no means of paying an adequate reût. One man, coustantly employed , miglit accomplish all {he work of culti: vating sévéral of these small possessions. When they are throwi togethér, the farnrer is enabled, merely by dimi: nishiig the number of séperfluous mouths, to send a part ofihe produce io market , and from the same land, without ahy addition t6 îts fertility, to afford a bétier rent to the ländlord. . ... Does any one, acquainted with the High=