Mémoires sur la Révolution française

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98 MÉMOIRES DE MADAME ELLIOTT

la baiser, puis ils le jetèrent en bas du cabriolet et le pendirent à une lanterne. Is traînèrent ensuite son corps dans les rues et portèrent sa tête chez son beaupère, où la pauvre madame Berthier, sa femme, était en couches. Ils mirent la tête de son mari dans sa chambre, et la malheureuse expira le soir même de frayeur. Telles furent les ahominables scènes de ce

jour.