Projet d'une loi : portant défense d'apprendere à lire aux femmes

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seuses, substituent chez elles des veillées lahorieuses el utiles, où on les verrait avec édification mettre elles-mêmes la main aux vêtements de leurs augustes époux.

Andromaque et Pénélope, femmes de deux héros, ne dédaignaient pas de présider à tous les

détails domestiques. XE.

Les maîtresses de maison pourront coudre un vêtement, pour l’offrir à titre de reconnaissance ou de cadeau à l’homme de lettres dont elles aurontentendu, pendant leurs veillées, un ouvrage rempli de sentiments vertueux et de talent.

La bonne madame Geoffrin, l'amie de Dalembert, en agissait ainsi; elle faisait présent de hautsde-chausses de velours aux auteurs qui l'avaient

intéressée par leurs lectures. XLI.

La Raison veut que chaque bal soit précédé