Un collaborateur de Mirabeau : documents inédits
tations par des fins de non-recevoir, nos « Magnifiques et très-honorés Seigneurs » reçurent, ainsi que leurs adhérents, le titre de négatifs. Reybaz se rangea d'emblée parmi les représentants. [| commença par des chansons. Des vieillards, nés sous ce gouvernement qui mourut de faiblesse parce qu’il s’obstinait à se croire fort, nous les chantaient encore il y à vingt ans : Petit enfant n’est pas toujours le même, Son corps vermeil Croft pendant le sommeil ; Mais le Petit Conseil Dans son sommeil suprême Reste toujours petit. Rien ne lui fait profit, Il est toujours, il est toujours le même. Des chansons politiques il passa aux « représentations. » Celles qu’il produisit ont été considérées comme « des plus fortes. * » Nous les
1 Entre autres : Défense apologétique des citoyens et bourgeois représentans de la ville et république de Genève, précédée d’une adresse aux Seigneurs Syndies, remise par les citoyens et bourgeois repré-