Correspondance politique et confidentielle inèdite de Louis XVI, avec ses frères, et plusieurs personnes célèbres, pendant les dernières années de son règne, et jusqu'à sa mort

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que celles qu'il lui présenteroit ; qu’il ne res. _texoit en place qu'aussi long-temps qu'il le jugeroit convenable; et. que sa majesté ne s'opposeroit, en aucune manière, à ce.qu'il se retirat.

En acceptant le ministère, il avoit cédé aux sollicitations de M. Turgot, qui étoit alors entièrement oécupé de réformes, que Louis favorisoit quoiqu'il pût en penser. comme monarque, M. de Malesherbes croyoit. alors à sa sincérité, et donna publiquement cetie opinion comme un des principaux motifs de son acceptation. Il semble, cependant, qu’une connoïssance plus intime lui avoit fait changer d’opinion; et que voyant Porage se former sur l'horizon, il avoit résolu de. se mettre. à

Vabri en temps opportun. IL étoit président: e la cour des aides, lorsque Louis XV $e décida, à supprimer les parlemens. De. quelque nature que fût l’opposition de ces, corper rations judiciaires, contre l'autorité royale. la convocation des, Etats-généraux xc proposés par M. de Malesherbes » Pour y remédier, ne pouvoit. guère Ja diminuer. Il avoit raison

d'observer que des cours de judicature ne sont.