Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

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POÉSIES

Que sur -tont quelque peintre habile, D’Apelle empruntant le pinceau , Immortalise ma Lucile Par quelque chef-d'œuvre nouveau. Dis-lui que pour rendre tes charmes I] rassemble tout son talent; Qu'il rassure un époux tre mblant, Qu'il prenne pitié de mes larmes.

Le jour que cette douce image Arrivera dans ma prison, Te croirai d’un ciel sans nuage Voir briller le pur horizon. De tes traits une longue étude Rendra le portrait sans défant, Ft de mon horrible cachot 11 peuplera la solitude.

Ah! puisse-t-il bientôt paroître ! Dans le plus triste des séjours Mes nuits dureront moins peut-être, Je supporterai mieux les jours. Qu'un messager prompt et fidèle Fasse tairé mes longs soupirs; Qu'il me rende tous les plaisirs Au sein d’une peine cruelle.

De Cobourg, si c’étoit la haine Qui me mit en captivité, Comme je bénirois la chaine Qui me ravit la liberté !

Le de do nr