Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

( 44) Tdoie des héros de Rome'et de la Grece, C'est toi que j'invoque aujourd'hui, Verse dans tous lès cœurs la mar tiale ivresse , Qui d’un penple bre est l appuis Que, ranimant Lacédémone , On voie enfin tous nos guerriers Triomphans aux champs de Bellone ; Ou mourans sur leurs boucliers,

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Air: Comment goûter quelque repos % u'1Z est heureux, l’agriculteur Qui voit, sur sa table champètre , Les fruits que son travail fit naître , Et se nourrit de son labeur ! Sa main, sagement indigente ; Rejette l’or de Lucullus, Et laisse les mets superflus Couvrir les tables d'Agrigente.

C'est à toi qu'il doit ce bonheur , Frugalité , vertu modeste ; De la santé mère céleste, Et compagne de la candeur. La Maladie, au front sinistre, Grace à toi, respecte nos jours, Et nous n'avons jamais recours À Galien, son noir ministre.

Rappelle-toi les vieux Romains , Quand des lois saintes et propices , Du luxe-et des molles délices Leur fermèrent tous les chemins ;