Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

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Air : C'est en vaiz que le ‘nord enfante.

Moser de Pindare et d'Horace, Viens m'inpirer le doux transport Qui fait triompher de la mort

Les chantres qui suivaient leur trace, De l’héroïsme courageux,

Calme sous un ciel orageux ,

Je veux peindre le caractère; Prompt moi-même à les honorer,

Je veux présenter à la terre

Les Dieux qu’elle doit adorer.

Héros fabuleux de la Grèce , Qui du monde fütes l'amour ,

. Ce n'est pas vous qui, dans ce jour, Allumerez ma sainte ivresse. D'Hercule et de Pirithoüs,

Un voile couvrant les vertus,

À rendu leur gloire douteuse : L'histoire m'offre son flambeau , C’est à sa clarté lumineuse

Que je vais tracer mon tableau.

Brutus est vaincu par Octave ; Il tombe avec la liberté ; Mais, sous un joug peu mérité, Loin d’abaisser un front esclave: Citoyens, calmez.vos douleurs , Dit-il à ses amis en pleurs,