Les secrets des Bourbons

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moi de semblables condescendances, jémais aucune action de ma Vie Wa pu mexposer à un reproche de celle nalure; et permellex-moi de vous le dire pour soulager mon cœur et . pour en finir avec le maladroit rapprochement que Von a tenté, si le comte de Chambord lui-même avait jamaïs écrit des lettres telles que celles que le prince Napoléon a écrites à son frère, il n’eût osé appeler personne à celle barre pour soutenir une telle dénévation de parente. (Applaudissements prolongés au fond de l'auditoire.)

(Berryer, même affaire, ibid., 2 février 1861, p. 110.)

Ainsi Berryer, que nous avons connu le plus loyal des hommes, Berryer, qui savait la vérité et qui au moment même la racontait dans ses détails essentiels à quelqu'un qui nous la répétée, n’a pas craint de dire de pareilles choses ! Son éditeur, plus prudent, n’a pas jugé utile de les reproduire. Suivant Berryer, le duc de Berry’ mourant aurait dit aux filles d’Amy, en leur montrant la future duchesse de Parme : « Voici ma fille légitime »,

il aurait eu cette suprême indélicatesse, fait ce